
A la sueur du coeur
Excusez, je ne suis pas là pour le single
Je ne suis pas de ceux qu’on distingue, je suis distant ils me disent dingue
Parce que je suis tout et tellement peu de choses info/intox
Non, ne cherche pas à compter mes locks
J’ai foi, je fais, je vais, je vois
Je vis, je vise pas de tise manquerait plus que ça ! Nouvelle aube
J’ai l’esprit de guerre au sang barbelés
Le sens logique hystérique, les nerfs d’un rapatrié Vois-tu
A force j’ai pris goût aux blessures au fur
Et grosses mesures mais sais-tu que j’accuse Mes chaînes
Part delà les causes que je plaide les plaintes
Au bled toutes ces plaies qui m’excèdent Obscures
La nuit s’éveille des épines dans le cœur
La fureur au sang, des rails et des képis sans peur Lumière
La mauvaise pousse sous leurs souliers
Excusez ma destinée n’est pas de celle qu’ont soumet Rebelle
J’ai esperé revoir un été mais le soleil
est de sang, Je l’ai vu, j’y étais Témoigne
mes sourires ont un goût amer
devenus trop banal aux portes de nos cimetières Solennel
des prières qui partent en enfer j’ai souffert
de lucifer son amour est nucléaire Dramatique
ils ont blazé mes blues couleur kaki
ici on meurt d’honneur et d’Hara-kiri Réalité
vois la haine sous cocaïne, elle tapine
baratine laisse mes yeux hémoglobyne Saoulé
et petit frelon tabasse la gamelle
bien loin le temps ou il réclamait sa Game-Boy
fusent les balles comme si Rolland Garros en bas des halls
on ne joue pas au tennis avec un flash-ball faudra leur dire
cette pratique et bien mal acquise
entre les perquises, les innocents qu’ont traumatisent Fier
je garde à la ligne ma conduite la dalle anime
et depuis j’ai pas trouvé la cuisine affamé
un fléau pour mes idéaux
même si on est poto, évite de m’appeler Négro
je ne suis pas le problème ni la solution
de la rébellion des hormones des jeunes en ébulition Fier
citoyens apatrides sans parti pris grandit
dans la crise, des flammes et tout ce qu’elles attisent Solide
vulnérable leurs politiques, leurs vanités
ils ont condamnés mes rimes pour l’humanité Dit leur
on est grand des discours de nos îcones
Cheikh, Ali, Maryse, Malcolm et même Nelson Massoud
Je garde à vous le souvenir
J’ai pardonné pour aimer à la sueur du cœur…
La liberté avait ce prix
Moi je prie pour la liberté
C’est dans vos pas que j’avance en paix
Mais dans la guerre mon poing s’est dressé

Commémorations
Moi, j’ai dis non ! un CpE à vos aveux abusifs
Je n’irais pas saluer les pantins représentatifs
Je crois en l’espoir même dans la douleur
Pas attendu le cran pour leur annoncer la couleur
Mon civisme un 3ème doigt pointé
Il tire des Fiertés sur des cadavres du passé
5 siècles en outrage non illusoire
patrimoine, esclave, Noir!
Leurs amnésies se sacralisent autant que la haine
Dit aux bourreaux de Gorée, les cauchemars m’entretiennent
Entre indigènes, la République, ses chaînes
Nous rappelle nos sièges aux abîmes du système
Sans toi tu dis, pas de ministres Blacks ou Arabes
Ceci étant dit doit me remettre à ma place
De ramasseur de poubelle ou de clandestin en soute
Juste pour le scoop, ma locks dans la soupe
refrain:
Il commémore et puis après
Qui refera l’histoire au sang de nos destinées
Eveillons ces hommes qui votent les lois
Les amendements une foutaise quand ils nous pointent du doigt
Quoi ! n’a t-on pas reconstruit la France
Ils sont combien au parlement à renier leurs migrances
Jeune témoin conscient depuis le Cp
Qu’ils ont pissé sur nos pères, plié d’Afrique au Mississippi
J’ai dompté les lettres dans le coma du combat
Des parents contraints de jouer profil bas
Des coups bas croire qu’on a tous les mêmes droits
Et chances d’atteindre les sommets de l’Etat
Ma génération une bande d’imprévus
Ils me l’ont bien fait remarquer au lycée Jean Prévost
Une histoire commune, le feu aux mémoires
Des nostalgies toxiques a qui veux savoir
Mes origines locales dans mon patronyme
n’ont pas fait de moi un gens bien selon les acronymes
Narguer moi près de vos sarcasmes sociètals
remettez vos semelles Président vous êtes bancal
le pouvoir est au peuple ce que le mouton est à l’Aïd
préconise l’œil du sommet d’une pyramide
Orgueil, polémiques des discours intempestifs
Juste pour l’esbroufe un pensif abrasif
refrain *1
Sous la peau, tous frères. Les tensions vivent
Mais la mémoire collective et quelque peu sélective
Loi Taubira…je commémore
Génocide Arménien…je commémore
Hiérarchise l’intégration des communautés
A raison économique auquel elle est confrontée
Esclavage traitre négrière…je commémore
Génocide Rwanda…je commémore
Je ne réclame et ne revendique aucun jour férié
Mais juste que les dignités des bafoués soit respecté
Déportation Nuremberg je commémore
Haïti Fòs ! je commémore
mentions commémoratives tous les cœurs et poings
dressés devant le monument de la paix
mesure de silence…
mes angles morts prendront vie dans vos arcanes
sous les ongles que cache la manucure de Marianne
je commémore à nos morts.

L'histoire commence ici
C’est au point zéro,
Debout, là, je mastique quelques de noix de cola dans le tumulte des pirogues
Les esprits des anciens en trêve veillent en offrande pour un prologue
Gorée défaillante, m’observe, obscure, la torpeur colonial au corps.
Son regard échoué à bon port, m’apaise quand s’embrume la voile d’or.
Dans l’ombre d’un rêve panafricain
Des mains sales ne parlent que par le plomb, ces mêmes qui ont tracé nos lignes de vie en pointillé,
Les larmes de sang versées de nos souveraines, bien qu’éloquentes n’ont pas su soudoyés.
Le ballet perpétuel de vagues amères sur la rive, n’ont pas eu raison,
du remords de pas souillés, de ceux qui sont venu, venimeux de derrière l’horizon.
Je les ai vu, vu de mes muscles vécus tétanisés, quand l’orgueil de leur déliquescence
se glorifiait de n’avoir aucun écueil, ma charpente porte le deuil par accoutumance.
Ne se fiant qu’aux voix nauséabondes de leurs déraisons
Ils ont cru bon et judicieux de vouloir prodiguer la civilisation
A Nos cultures indigènes.
le mal en bon apôtre usé de la violence extrêmes, un fait parmi tant d’autres, immoral
banal la servitude et le cancer de l’Afrique serait un bien occidental,
Mon cœur de feu n’a pas trahi la royauté qui gronde dans mes artères
je suis debout, car sans liberté je ne peux faire acte de transmission, fier
je ne finirais pas esclave de la nation
Nous y sommes et je ne crains aucun de leurs nabab
Car parmi eux , nul ne peut faire de l’ombre à un baobab
Avance en Paix, fils, La Diaspora est en mouvement, elle prend position
et s’accomplit dans l’humilité, entends-tu ces chants de rédemption ?
Vois-tu, Ali M’Baye, Un nouvel aspect des mêmes choses, tu dois les prendre
Mais toi, pourrais-tu voir plus loin que ces choses que tu ne peux comprendre ?
Notre histoire, commence ici…

L'ombre d'un rêve Panafricain
A la cime du Kilimandjaro, je demeure anonyme, fragile
Au-delà de l’apaisement je ne tient que sur un fil
Au lointain se plonge mes songes, pleurent en silence
Ma descendance sûrement ira noyer ma repentance
La Clarté de l’eau trouble équivaut la politique
Des pions que l’occident place à des fins stratégiques
Sans endroit ni envers au diable votre ignorance
Ils ont le feu au ciel en omettant les conséquences
Décline sur les montagnes des lunes qui titubent
Et quand la brume se dissipe des cadavres jaillissent en incultes
N’ayant plus à cœur leurs dirigeants leurs vacuités
Je suis le soir de l’histoire qui n’avance que pour la paix
Souillé des plaines sacrées espérant en faire des exemples
Ils n’ont que sang, larmes, Sueur pas la leur celle du peuple
Vous demandez à comprendre et bah le nègre il t’emmerde
Je retourne aux vieilles brousses où les hommes sont intègres
Après des gorgées d’arsenic, j’ai régurgité de l’or noir
Je suis né d’une larme à la barde des conquistadors
Temps féroces, les écorces sont de peine
J’attends la cohésion de la diaspora pour libérer mes chaînes
Des faces noires brusquées à tort jugées austères
Mais chaque hiver depuis 54 témoigne de vos chimères
A leurs dires, terre mère est inhospitalière
A la faveur de leurs doutes je m’en remet à l’Abbé Pierre
L’horizon se dérobe, un solstice saisonnier
Des voix s’élèvent du passé c’est dans ma poitrine qu’elles ont résonnées
Mon assiduité apache, vos préceptes iconoclastes
N’ont pas eu lieu d’être, là ou fière ma raison résiste
Au crépuscule de l’aube aux portes de nos royaumes
Des lucioles en guise de lanterne de la terre rouge serrée dans ma paume
Paupières closes pour voir au mieux les prestiges
vertige sans contingent ils ont pillé nos vestiges.
Refrain
Assis, adossé à l’ombre d’un baobab
Gardien du temps, ta sève n’est pas turpitude
Chaque jour qui passe est un triomphe durable
De vérités articulées pour ébranlez vos certitudes
Oh Grand Marcus Garvey j’ai su regardé pour
Que la Diaspora reste gravé au cœur du vrai
Le fossé qui sépare nos deux mondes n’est pas si grand.
Du Cheikh Anta Diop dans la cabessa j’avance à pas de Géant
L’ombre d’un rêve panafricain
Plane sur mes questionnements
Existentiels un bout du ciel
une échappée belle un Sahel
je vois le monde sans barrières
un sourire n’a pas de frontières
la voix des sages leurs messages
Vibre les âmes sans clivage

Février Noir
J'ai la peau Corbeau, voit sur mon âme les ecchymoses.
Les oraisons me questionnent, les saisons n'offrent plus de roses.
Retour aux pyramides après des siècles, émotion...
Des traîtres par millions, la vérité prête à confusion.
"J'suis pas comme eux" j'ai crié, mais qui suis-je?
Après 50 nuances du nègre de William Lynch, j'ai des vertiges.
Je suis peut-être de la race des timals, au pire au moins.
Y a pas que des mangeurs de galette de terre aux alentours de Port-aux-Princes.
Rien sur la route au Tom-Tom(Gps), dans le brouillard je me guide aux Tamtams.
Je m'entends penser pendant le carnaval et puis plus rien pour le Bimidom.
Blada(frère en créole guyanais) ils ont pisser dans tête imposant l'oubli.
Conditionné drogues et excès sur des chemins compromis.
Ma soeur ils ont dit solidaire, j'ai mis des parenthèses.
Cham dans l'épiderme, j'ai brûlé leurs exégèses...
"Noir c'est noir, mais reconvoque l'espoir... Noir c'est noir, on va réécrire l'histoire..."
Février noir, pétrole brut. Ma négritude, sans demi-mesure.
Noir X mal comme Noir parce qu'Rose a.
Noir c'est Noir mais reconvoque l'espoir. *2
J'ai la peau Corbeau, m'a fait savoir l'administration.
Radote l'intégration, je les attend depuis 3 générations.
Grand-père, la chair à canon, les Y'a bon, les jours précaires.
Souviens-toi Le Havre était une ville negrière...
"Ils voudraient qu'je sois comme eux" en silence, il faudrait que je le pense.
J'aimerais aimé ces aires, la réalité chante une autre démence.
Tout part à la dérive, qu'est-ce qu'ils nous arrivent.
Faut qu'ont se délivrent des méfaits cachés dans leurs livres.
Non! Je ne connais pas l'Afrique, aigrie est ma couleur de peau.
Je prend tout par défaut quand ils invoquent les colères d'époque.
Tirailleurs, ta bravoure meurt en foyer Sonacotra.
"Ils disent" fallait savoir lire le contrat, signer autre chose qu'une croix.
Ya Foye, sous pression d'humeur sans papiers.
Amère la mort aura leurs sangs dans ses paupières.
"Noir c'est noir, mais reconvoque l'espoir... Noir c'est noir, on va réécrire l'histoire..."
Février noir, pétrole brut. Ma négritude, sans demi-mesure.
Noir X mal comme Noir parce qu'Rose a. Noir c'est Noir mais reconvoque l'espoir. *2
J'ai la peau Corbeau, j'élabore en conséquence.
Cheveux crépus comme Jésus, lapider les manigances.
De Gorée, les vagues ressassent un sentiment d'amertume.
Trauma post-coloniaux, indépendance, illusions posthumes.
Africano-européen, mes valeurs diasporatiques.
Regarde le monde en marche aux aurores de luttes politiques.
L'horreur n'a pas le monopole à l'ombre des baobabs.
L'avenir à bâtir, le lire dans un marc de café touba.
Jeunesse qui s'enfarine, Peuples qu'ont exterminent !
Famine, Ruine, relève la dignité si elle tapine!
Ma soeur cesse le Xesel, ta peau d'ébène est belle.
Grandiose un sahel que j'ambitionne au pluriel!
Les échos de mon silence résonnent dans la vallée du Nil en Ankara.
Un Homme intègre peut valoir 100 carats...
"Noir c'est noir, mais reconvoque l'espoir... Noir c'est noir, on va réécrire l'histoire..."
Février noir, pétrole brut. Ma négritude, sans demi-mesure.
Noir X mal comme Noir parce qu'Rose a. Noir c'est Noir mais reconvoque l'espoir. *2

Les enclaves du destin
Les stats restent les mêmes et les bourreaux se fashionnissent
les enclaves du destin, une liberté qu’ils perquissent
Mystères et boule de gomme du haut des tours d’ivoire
Ma colère couleur cacao, Cote d’Ivoire
Le temps ne s’écoule plus, tourne au prix du baril
des civils en exil, des grains de riz qui fusillent
épouvantable époque, infamie des abominables
implacable ma dalle du tiers monde peut rendre instable
les traumatismes s’impriment au marteau-piqueur
au piquet s’écoeurent et s’égarent, ces guerres… d’ailleurs
ont-elles le sens primaire de ces chaînes d’antan
car pourtant, tout est fait à bon escient
en dividende d’état, le pouvoir d’achat en machette
bling-bling et starlette quand l’Assemblée devient la Croisette
vos langues ont glissées, je n’ai pas cligner d’un cil
de GPS point Gorée, j’envoie des missiles…

Prélude à l'utopie
Marianne au fond qui se fout de la France, que caches-tu à tes enfants des terres lointaines, quelle est la genèse de cette amertume quand tombe le masque ? va tu enfin apaiser les souffrances d’une atteinte, un attentat « black, blanc, beur » .
Pourtant des nations voisines s’inspirent du modèle France 98 donnant la chance à leurs minorités dans de nombreux secteurs économiques et postes à hautes responsabilités ainsi prouvant qu’ensemble nous pouvons réussir sans préjugés épidermiques.
je suis attristé parce qu’ici même les plus érudits ont basculer dans une gangrène inquiétante sans être capable de se vacciner face à la plèbe qui criée au bûcher scandalisée pour si peu
mais les mal-logés, les sans-papiers cotisants, les vieux dans la solitude on fait quelque chose pour eux
vos écrans plasma sont vos miroirs, vous aurez les programmes que vous méritez, dehors il te diront que les jeunes mordent reste au fond de ton canapé c’est dans un de vos verres de bière que viennent mourir, noyé mes utopies 98...

Utopie 98
Soumis à une perpétuelle dualité l’être
Entre clarté, pénombre, omission de n’être
Qu’un parmi d’autre, tirailler de démence
D’actes médités ou douteux, s’immisce en conséquence
Naître, peut-être, sans être choisi
La prophétie ses signes qu’adviendra-t-il de nos vies ?
Remise en question de l’homme sa rédemption
Je n’attendrais pas qu’ils couronnent mes positions
Est-ce que rien ne sert d’être, pire paraître
Feindre jusqu'à enfreindre à les envoyer paître
J’ai pour ainsi dire saisi l’importance du détail
De la foutaise du moral des troupes pour la dorure d’une médaille
Ça m’interpelle mes convictions toutes attentives
S’attendent à la propagande d’une opinion aux cornes de Satan
Un petit Pont et la Nation en une seule race
Principe jetable après usage on tire la chasse
1et 2 et 3 Zéro,
Amorti de poitrine sur Zahia sa libido
D’un coup d’boule à un autre une dimension demande à Zizou
Ne vient pas nous vexer ça peut nous mettre hors de nous
Cours à l’ombre cet été évite les UV, la couleur Caïd
Donne dans l’hémicycle son lot de propos hideux
L’atteinte un attentat black-blanc-beur prenant
La mesure d’une Marseillaise sur la bouche cousue de Karembeu
Un désastre, un désastre
Il crie Victoire en tricolore
Un désastre, un désastre
mais quand j’échoue mon teint devient ingérable
Marginal Infréquentable
des bleus réduit à leur origine
Leurs amnésies historiques sous cuite
J’ai noyé mes utopies 98
reprend toi un coq dans la basse cour se pavane
cocoricote sur le trône mais dans la savane,
les lions et les hyènes shoot au bout portant
tu tiens à ces plûmes ne lui demande pas d’en faire autant…
c’est moi, ma génération contre tout le reste
je n’attends plus ma chance aux chansons pour lâcher du lest
tricard des politicards en donneur de leçons
Cantona à raison ceux qui nous gouvernent sont parfois cons
Chirac ne pète toujours pas dans des draps à la santé
le banc de touche en purgatoire pas la peine de t’signé
Il pleut des hooligans l’Arbitre siffle à la vuvuzela
Bien que ce soit la tradition pathétique sont vos ola
La polémique enfle bien qu’sous-alimenté ohh
Rétourné-ciseaux plus 3 de mes 206 os
Echappé d’un nucléaire dans le secret du vestiaire
Prétexte à lyncher un compatriote aux dires bestiaires
Fuis Rmiste écervelé ou pauv’con choisi ton tarif
Que tu payes l’I.S.F, tu viendrais toujours du mauvais coté du périph’
Les grandes nations à défaut de se faire la guerre à l’explosif
Affichent leurs puissances dans les stades et évènements sportifs
C’est évident qu’ont verra toujours d’un mauvais œil
Un petit pays émergent sortir un g8 sous un linceul
Troublant les mêmes restent visé sur les wc
Calvi sait qu’les médias feront l’job comme des poux sur une calvitie
L’atteinte un attentat black-blanc-beur prenant
La mesure d’une Marseillaise sur la bouche cousue de Karembeu
Le plus tragique dans tout ça, c’est qu’ils disent que tout les joueurs se foutent de la France
Oh oh !les biens pensant ils les aiment les victoires, quand y’a la victoire on est tous tricolores hein
Mais les chutes sont réduites à avoir des origines : la Banlieue, l’autre coté du périphérique, une couleur, une religion, du délire inconscient, de la fiction.
On le voit bien, cette débâcle assume un sentiment méprisant, profond.
Ils ont réduit 13 noirs et 10 blancs à une conspiration d’une génération de Racaille et tout le folklore de clichés stigmatisés et répandre le venin d’une couverture d’un quotidien sportif, une manipulation de masse politico-médiatique donc la conclusion n’est qu’autre qu’un racisme structurel notoire qui tend à se banaliser.
sûrement certains parmi eux, on eu des aïeuls qui ont versés leurs sangs pour la France
Tirailleurs, les pensions en miette de pain, ça voudrait dire qu’ils continuent à bafouer, délibérément, perpétuellement?
Tu vois c’est pour tout cela que Karembeu, observait le silence pendant que les autres s’époumonaient sur la marseillaise.
Son peuple kanak il en est fier, ils ont souffert, ils ont maltraité un de ces ancêtres ,1931, exposition colonial Paris c’était hier, il le sait, il est ceux qu’il est, il ne peut pas mentir, tu veux le condamner parce qu’il dit la vérité ?

Natangué
un titre hommage au projet humanitaire et solidaire du même nom dont voici LE SITE et l'historique pour soutenir l'action. bien à vous.
HTTP://NATANGUE-SENEGAL.ORG/
Historique de l’action des associations Natangué Sénégal et FAI in SENEGAL onlus créées par Elena Iannotta Malagodi
1999 – Création de l’Association Loi 1901 l’Homme et le Cheval à Mbour, Sénégal (HCMS), Journal Officiel du 9 juin 1999, n° 1753.
Objet : Aider les jeunes handicapés dans leurs déplacements, soins, orthopédie, chirurgie, formation.
2003 – HCMS obtient une subvention de l’Association « Femmes d’Europe » pour construire son siège à Mbour. Luigi Di Giamberardino devient le trésorier de l’Association.
2004 – Construction de « La Maison de l’Etudiant Handicapé » dans le quartier Zone Sonatel à Mbour. C’est là où se trouve le siège des associations.
2005 – Décision de construire une école maternelle sur un terrain municipal de 2.800m².
Ampliation des missions de l’association et modification de son intitulé par l’ajout de Créer des Ecoles Maternelles Ensemble, (Journal officiel du 9 Avril 2005, n° 1982). – Création d’un jardin public après évacuation d’une décharge d’ordures qui constituait une menace pour les petits enfants du quartier.
2006 – Affectation du terrain à la construction d’une école maternelle municipale dans le quartier Zone Sonatel par le Conseil Municipal de Mbour.
– Création de l’association italienne Fondare l’Avvenire dell’Infanzia in Senegal, FAI in SENEGAL onlus, dont la mission principale est “Construire, organiser et soutenir des écoles maternelles pour des enfants de 3 à 6 ans ; Fournir des moustiquaires, médicaments et vaccins pour réduire la mortalité infantile.
2007 – Signature d’une Convention de partenariat entre HCMS-CEME, FAI in SENEGAL, la Mairie de Mbour et le Ministère de l’Education Nationale autorisant l’association à construire l’école et à y réaliser des actions sociales envers les enfants et les familles démunies du quartier.
Obtention des crédits pour la construction et l’aménagement de l’école.
Partenaires : l’Ambassade de France à Dakar (SCAC), l’Association Enfance et Partage, la Fondation Orange, la Région Île-de-France, Fondation Sonatel, Sénégal, Association Dianté Bou Bess, Sénégal, la Mairie de Mbour, et de nombreux amis en France, Italie et aux Etats-Unis.
2008 – Entre janvier et septembre, Construction de l’école maternelle municipale constituée d’un bâtiment de 4 classes pour 200 petits de 3 à 6 ans, une Maison des mamans, avec un atelier de couture et teinture, une cuisine, une salle polyvalente pour les réunions d’information des mamans et l’alphabétisation des adolescentes déscolarisées, un bloc sanitaire, le logement du gardien.
13 octobre, ouverture de l’Ecole maternelle municipale Natangué pour 200 enfants. Visite pédiatrique de tous les enfants ; distribution quotidienne d’un goûter; distribution de 200 moustiquaires, offertes par la Fondation Sonatel ; ouverture des cours d’alphabétisation pour 35 adolescentes ; réunions périodiques des mamans afin de les aider à protéger la santé des enfants, à créer des micro entreprises et à apprendre à gérer des microcrédits en collaboration avec Planet Finance.
2009– Construction de l’Ecole élémentaire Natangué, financée par la Fondation Orange et Enfance et partage. Ouverture le 5 octobre de trois classes pour 150 enfants. En 2015 – on accueille 600 enfants dans le Groupe Scolaire Natangué.
HCMS-CEME devient Natangué Sénégal (J.O. du 22 août 1009, n°1042).
Création du Groupement d’Intérêt Economique, GIE Jigeenu Natangué (Femmes de Natangué).
2010 – Début du projet agricole avec le don au GIE des femmes « Jigeenu Natangué » de deux terrains d’un hectare, construction de deux puits, grâce à la Regione Lazio, Italie.
Construction et ouverture d’une boutique de vente de céréales dans le quartier. Les bénéfices de ce commerce vont dans la caisse du GIE pour financer d’autres microprojets.
Construction de deux classes et finition de deux autres, grâce au financement de la Fondation Orange, dans l’école primaire de la Zone Sonatel (Directeur M. Kamara) fréquentée par 983 enfants, dont 52% de filles.
2011 – Création d’un jardin potager bio pour l’école, avec les étudiants de San Francisco. Premières récoltes de mil, arachide, tomates, piments, oignons. Démarrage de la construction d’un centre de formation et de services de 5 unités.
2011 Construction et ouverture d’un Centre de commerce et formation professionnelle de 5 unités.
Achat de deux terrains agricoles pour le GIE des Femmes de Natangué. Création de 4 puits.
2012 Construction des toilettes dans l’école primaire Zone Sonatel dirigée par M. Kamara et dans le Daara de Warang.
2013 Construction et ouverture de l’Infirmerie des écoles dans le quartier Zone Sonatel pour les 1200 enfants du quartier.
Construction de 3 salles de classe du nouveau Collège du quartier, le CEM Mbour Sérère.
2014 Construction de 3 salles de classe supplémentaires dans le même collège et du bureau du principal.
2015 Construction de deux salles de classe entre janvier et mars dans l’école maternelle Coumba Dinding Sonko, et transformation de l’école en groupe scolaire municipal avec la construction d’une école élémentaire de 6 classes entre mai et septembre, financée par la Fondation Moms Against Poverty (MAP)
2014-2015 Aide à la formation de 30 jeunes femmes dans les écoles de formation professionnelle en couture et coiffure Natangué, grâce à laFondation AGIR SA VIE et la Fondation RAJA-Danièle Marcovici, et l’association FAI in SENEGAL onlus. Les élèves de cette deuxième promotion sont toutes admises en seconde année.
2015 Finalisation du bloc administratif du Collège Mbour Sérère entre août et septembre.
En parallèle de ces interventions, les associations soutiennent, depuis leur création, de nombreuses familles démunies, en intervenant :
pour soigner les enfants malades et les enfants et jeunes handicapés (opérations chirurgicales, suivi médical)
pour l’inscription des enfants les plus démunis à l’école, au collège, au lycée
pour les frais de scolarité d’enfants handicapés, du collège jusqu’à leur fin de cycle à l’université
auprès des femmes veuves et des femmes en situation de précarité, pour les aider à développer une activité génératrice de revenus
auprès des familles démunies, en leur donnant des aides pour la santé, l’alimentation et le bien-être de leurs enfants

Point Zéro
Tourne le monde, point d’impact à la décadence
Déchéance, j’ai pris mes distances
le cœur s’afflige en marge, point de rupture
Mise au point focus sur point de non-retour
C’est en 3 pièces que les bourreaux courent à l’infamie
De points sur les I de quelques gens de Roumanie
Remanie des charters en point de chute
Paraît que le peuple est une pute qui exulte sous insulte
Le point d’orgue s’accorde à conserver l’Afrique
Tête en dessous le nombril et dans la brume point critique
Un cinquantenaire et des chaînes noyés les peines amères
L’indépendance une farce, pleure du rimel pétrolifère
Fallait-il m’inviter à point nommé blessé
Sous les belles lumières des festivités j’crache
Mes glaires dans le cocktail à la gloire de nos pères
Révolutionnaires partis point le point rouge entre les oculaires
Ma paperasse paresse ne vaut plus grand-chose
Après cotise des sans papiers, l’égalité surine mon point de vue
Plus de point de repère j’en perd mes points cardinaux
Parti pris cadenassé rebelle, car je dis non
En points de suture j’ai un continent qui sature
A Fuir les ratures d’un futur qui caricature
Mal-en-point, malsain l’enjeu propagé
Ma vérité pas habilité à taquiner leur point G
Fils de cham chatié les évangiles confirment
Si j’en crois les dires d’un vieux chnoque parfumeur sénile
Note le point de cheminement des persécutés
Fleurit en cadavre flottant au milieu des alizés
En déclin, la nation dévale en point mort
Quand se banalise un racisme structurel notoire
Point du jour, la rosée attise les éclairs
Les raisons de la colère ne mettront pas le genou à terre
L’air est bien pauvre dans la zone
Point de bascule, on ne rachète pas les péchés par l’aumône
l’utopie de colmater justifient les fuites
Et les dérives sécuritaires actuelles par un mai 68
Point noir, le nucléaire, France, point de vente
poignées de mains sales, milliards, armement, tourmente
Point d’appui d’une réflexion qui dépasse l’entendement
Homme Noir ne rime pas avec histoire, forcément
Mais Génocide, machette aux bons élèves, les bons points
J’ai fait mon bilan détaillant point par point
Du point de départ à celui d’arrivée tout point concordant
J’en reviens toujours au Point Zéro.
Refrain :
De GPS point Gorée, j’envoie des missiles
De Négritude Universelle
Bien qu’aujourd’hui la vérité
Est prostituée bien arrangée
Traumatisée, Génocidée
Illuminée pireG.8.tisée
J’ai détaillé, énuméré
Mon point de départ et celui d’arrivée
